Saturday, June 28, 2014

D ieu


Je longe le Luco dans la douceur d'un soir d'été. Il arrive que Paris n'ait pas sa pareille... Je pense à toi, mon Yvno...

— Tu fais bien ! Je travaille Baudelaire au bord du Rhône, mais qui devait lui aussi avoir des sensations parisienne comme la tienne... Très cher, tu me manques ! Viens faire de la corde à sauter dans mon spectacle ou l'amour ou ce que tu veux  ! Yvno


— C'est beau ! J'arrive. Toi aussi, tu me manques...

— « On peut chercher dans Dieu le complice et l'ami qui manquent toujours. Dieu est l'éternel confident dans cette tragédie dont chacun est le héros. » Considère-moi comme Dieu, en toute simplicité, Yvno

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