D ieu
Je longe le Luco dans la douceur d'un soir d'été. Il arrive que Paris n'ait pas sa pareille... Je pense à toi, mon Yvno...
— Tu fais bien ! Je travaille
Baudelaire au bord du Rhône, mais qui devait lui aussi avoir des sensations
parisienne comme la tienne... Très cher, tu me manques ! Viens faire de la
corde à sauter dans mon spectacle ou l'amour ou ce que tu veux ! Yvno
— C'est beau ! J'arrive. Toi
aussi, tu me manques...
— « On peut chercher dans Dieu
le complice et l'ami qui manquent toujours. Dieu est l'éternel confident dans
cette tragédie dont chacun est le héros. » Considère-moi comme Dieu, en toute
simplicité, Yvno
Labels: correspondance
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