Je
cherche aussi une très belle femme nue — mais sublime — qui, nue et dans le noir
— et dans le vide —, figurerait le fantôme mulâtre de Jeanne Duval, la
femme sur le corps de laquelle Baudelaire a écrit ses plus beaux poèmes, les plus excessifs et si beaux... « Sous le fardeau de ta paresse / Ta tête d'enfant /
Se balance avec la mollesse / D'un jeune éléphant... »
Labels: avignon, rester vivant
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