Thursday, July 17, 2014

L e public, c’est la mort


« Seul et sans musique, s’inscrivant dans les pas de Vicente Escudero qui, déjà en 1930, dépouillait son art flamenca de tout, Galvan sature l’espace de sa présence. Son mouvement tient plus du coup de pinceau qu’autre chose, son dialogue avec le soir est un sortilège. « Le public c’est la mort. La mort c’est le public », lâche-t-il avant de s’éclipser. Il est tous les danseurs à la fois. Ce qui finit de le rendre unique. »

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