Wednesday, September 03, 2014

 « […] cette caractéristique de La Cerisaie qui est le don laissé à chaque spectateur d’oublier la pièce pour ne se souvenir que de configurations personnelles similaires : d’y lire l’enfermement dans l’enfance, la façon de se laisser envahir par la mort, de jouer perdant, sans rapport avec le monde — et toujours sur le mode du comme si. Pris par le rêve et exclus, auteur sans l’être d’une version de La Cerisaie qui ressemble assez à celle qu’on voit jouer, mais qui n’est pas celle-là […] »

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