El Principio del mundo
J’avais engagé Marcus au cours des répétitions du spectacle Le Dispariteur, il s’était moulé dans ce qui était déjà fait, il apparaissait à la deuxième partie d’un spectacle un peu d’émerveillement et d’épouvante, dans le gris presque total et la transparence de la voix divine de Jonathan qui répétait ad libitum des extraits de chansons connues (que Claude Régy n’avait pas reconnues, il m’avait demandé de qui étaient les textes), mais je m’étais promis, la fois d'après, de faire un spectacle autour de lui, central, et de sa capacité inouïe d’improvisation. Ça a été Elle court dans la poussière, la rose de Balzac, un drôle de titre qui m’était venu comme ça et qui avait plu à Marie-Thérèse. Marie-Thérèse a gardé les tirages — elle me l'a encore dit l'autre soir — chez elles, que j’avais, plus tard, exposés à la Ménagerie, des photos de Marc Domage, très belles, il est vrai, de la chute de la poutre d’Eric avec Marcus en dessous
Labels: paris rose balzac
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