P our Benoît
Ce qu’il faut faire (et ce
que nous faisons), c’est un jeu de profondeur. Une succession de plans, de coulisses qui s’ouvrent,
potentiellement inépuisable, un relief. Succession des voix plus ou moins
anciennes, plus ou moins audibles, comme si la « personne » se
déplaçait spatialement dans le
temps.
« L’opium agrandit ce
qui n’a pas de bornes,
Allonge l’illimité,
Approfondit le temps, creuse
la volupté
Et de plaisirs noirs et
mornes
Remplit l’âme au-delà de sa
capacité. »
Labels: rester vivant
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