Z elda, livre d'or
Moni Grégo
Toujours magique,
magnifique, désaxé, des âmes de poètes dans des corps d'athlètes, des êtres
chimériques divins, enfantins, animaux, si proches que c'en est adorablement
indécent
Aurélie Charon
J'ai adoré la lumière et
ces deux beaux premiers corps luttant. Ça aurait pu durer toute la nuit. La
suite aussi mais, ça, ces images premières, reste très fort. C’est toi qui es
très fort, as usual. Merci mille fois et à très vite *** Aurélie
Violette Villard
Aérien ton Zelda, quelle élégance cet Adrien Delonien par excellence
et ce combat Viscontien aux gants d'or en apesanteur ! Tu arrives presque
à nous faire croire à l'ampleur et à l'élasticité de l'espace dans une salle si
exigüe. Beauté continue de toutes les séquences avec ton Zelda si fin si sobre.
L'ultime de la séduction
est sans doute un dessaisissement de la volonté, un non-savoir de son aplomb.
Ton Adrien a cette grâce et infuse tout ton spectacle.
Aimé aussi tes césures. Des
sortes d'évanouissements.
Merci encore à toi
Yves-Noël pour cette « survivance des lucioles »
De Pigalle, Violette
Dominique Issermann
J'en aurai à te dire des
bonnes choses... Tu es génial ! Je t'embrasse Dominique
Philippe Katerine
Merci Yves-Noël, j'aurais
adoré voir ça, mais je me situe actuellement à Bruxelles. Tes spectacles me
manque. J' espère bientôt. Je t'embrasse. Philippe
Bruno Perramant
Je reste dans ma maison.
Les fleurs sont en train d'éclore.
Je recommence à peindre. Un
petit peu de Zelda sera un mirage.
Pour le moment.
Succès !!!
Alice Ramond
YvNo c'était très beau hier
! J'ai adoré le Sacre avec tes
beaux éphèbes qui luttent contre des fantômes. Où les trouves-tu ! Et Elvis, et
la longue robe noire, et le casque de moto, et l'arbre qui fait du bruit en
tombant. On a filé vite, mais à bientôt, des bises, Alice
Dominique Hervieu
Cher Yves-Noël, j’ai dû
partir très vite après la représentation. J’ai trouvé ton spectacle plein de
poésie et d’intensité surtout toute la partie du Sacre.
Je n’ai pas vraiment
accroché à la dame en rose qui de mon point de vue me faisait trop décrocher du
climat du Sacre. De toute façon,
beau travail !
Je ne pense pas le programmer,
mais je te remercie de m’avoir encouragé à venir le voir.
Je t’embrasse,
Dominique
Erwan HaKyoon Larcher
Yves-Noël, j'espère que la grâce était là avec vous, par vous hier soir à Vanves. Vous, elles-eux que je
n'ai pas vu.
Je n'ai pas pu rentrer... quelle rage... il m'a fallu — tu t'en doutes — beaucoup de force chevaleresque
pour rentrer chez moi. J'avais la sensation en passant la porte de sortie du
théâtre que je ratais quelque chose. Dans le sens de foirer quelque chose avec
toute l'incompréhension qui nous perd à ce moment-là. Au fur et à mesure que je
m'approchais du métro dans cette longue rue triste et froide, quelque chose de
privilégié se déroulait, loin de moi, de plus en plus loin... ah oui bon..
c'est comme ça me suis-je dit. Et ce fut comme ça.
J'ai imaginé ce que pouvait
être cette installation lumineuse et ces corps dansants, présents, jeunes et
beaux que les photos publiées depuis quelques jours me laissaient présager.
Mais rien de tout ça vivant pour mes sens. Qu'importe, je patienterai pour la
prochaine fois — évidemment autre
chose —, quoique que, quand tu parles de remixes tu as peut-être raison,
tellement de choses différentes mais au fond, une beauté si commune à toutes.
À plus tard.
Erwan
Véronique Théau
Bonsoir,
Hier soir au Panopée,
j’y ai vu des fragments de vie, des corps beaux :-) dans une
lutte infinie... Des images furtives et suffisamment entêtantes
pour résonner encore longtemps dans ma tête.
Un petit peu de Zelda
s’apprécie à froid (le lendemain...) enfin, c’est mon cas ! un coup
de foudre à retardement. Ce doit être ça le génie de YNG.
Merci Yves-Noël de me
faire vivre toutes ces émotions.
Anecdote : Hier soir, nous
étions assis côte à côte ou presque, j’étais à droite de vous. Il y
avait juste une personne entre nous qui m’accompagnait. Vous preniez des
notes sur un petit carnet. Je me suis demandée si vous aviez écrit : y a
l’étiquette (lol) qui sort de la robe pailletée de ce corps lumineux et
bien d’autres choses encore....
Ben voilà, c’était
un moment unique comme toujours.
Véronique ThéauJasmin
Jeanne Alechinsky
Merci à toi Yves-Noël Genod
c'était magnifique, important et on a dansé avec l'invisible. Merci merci merci
José Alfarroba
J'aurai tant aimé être avec
vous !
Mais de l'autre côté de
l'équateur, j'ai beaucoup pensé à toi, à vous... et je suis très heureux
d'avoir initié avec toi les nombreux et magiques spectacles que tu nous a
offert tout au long de ces 10 dernières années !!!
Cette maison était aussi la
tienne et avec la nouvelle équipe ça continuera.... J'en fais le Vœu !!!!
Merci mon très cher YVNO...
merci d'être là, et jamais au même endroit !
Beijos do Brasil !!!
Jeanne El Meliani
Les lignes bougent, on se
perd dans les limites du « show » et des conventions, ce qui reste à
deviner c'est entendre la poésie qui sommeille en chacun de nous. Yves-Noël
Genod et son gang viennent frapper à notre porte, rire au seuil de la tragédie,
c'est entrer dans la dramaturgie sans craindre d'y laisser trop de chagrin,
c'est beau, ça vous demande de réfléchir sur un autre ton (sans forcer). Je ne
sais pas pourquoi mais Andy, ici Wagner Schwartz, m'a beaucoup parlé… Bravo à
tous !
Manuel Durand
Très curieux et très
heureux d'avoir vu. D'une grande beauté
Thomas Scimeca
Suis parti avec la voiture
d'une amie. Je travaille à 6h demain . C'était très beau. J’ai adoré la fille
et son histoire de cul et le black aussi. Pas évident de tenir son truc avec le
mec bourré derrière lui qui fait des blagues. Et il est génial en boxeur. Des
bisous
Vive le Sacre. Quelle splendeur ! Ça n'aurait pu être que ça :
La boxe la boxe la boxe la danse de la boxe et les lumières et les ralentis : comme
du cinéma américain. Kiss
Vincent Darré
Bonjour Yves-Noël
Suis sortis rêveur après ton magnifique spectacle Magique
Électrique Psy Chic !
J’ai parler à tous mes amis dont le directeur du festival
de Spoleto Giorgio Ferrara marié à Adriana Asti grande amie et grande actrice !
qui regrettaient tous deux d’avoir rater ce spectacle et pensaient t’inviter au
prochain festival…
Si l’idée te séduit ? on organisera une rencontre quand il
reviendrons à Paris
Encore Merci de ton invitation… Elie était jaloux d’avoir
rater ce merveilleux miracle
Tantis Bacis de la Mâtina
Vincent
Labels: zelda vanves correpondance
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