Renaud Bechet
Avant première du dimanche 20 septembre…
Le texte nous parvient, comme dans un rêve, dans cet impalpable du rêve, le rêve qu'on ne peut expliquer, parce qu'on ne fait que le ressentir, à l'intérieur, profondément.
Mesdames et messieurs il faut vendre la Cerisaie, nous devenons des personnages du texte de Tchekhov, ce sera pareil pour Shakespeare, nous sommes des spectateurs-personnages du rêve que nous faisons ensemble.
Ils viennent s'adresser à nous avec tout ce qui peut nous être adresser. Un rythme qui se pose et s'impose par celui des comédiens, incroyablement là, beaux, magnifiques d’humanité.
L'humanité est là, l'espace d'une soirée d'1H50, on était prévenu.
Merci, merci pour ce voyage dans la nuit (presque nuit). J'ai ré-entendu Macbeth que j'avais pu interpréter dans la mise en scène de Gwenaël Morin…
J'avais vu un spectacle argentin il a quelques années et qui m'est resté tout le temps : ça s'appelait Bonbon acidulé, dans le noir complet, on était perdu, on voguait...
Labels: Lyon correspondance
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