Je choisis trois livres pour emporter à Lyon, La Voie des airs, Hier en chemin et La Science de l’intention. Je suis enfin allé voir Cemetery of Splendour dont on m’a tant parlé et qui m’avait tant fait rêver, eh bien, j’ai été déçu. Mais déçu. C’est très difficile de savoir ce qui vaut vraiment le coup au cinéma — de supporter de voir dans une mauvaise salle en sous-sol. Toutes les critiques sont dithyrambiques, en général. Là, on me conseille Fatima, Ni le ciel ni la terre, le film de Louis Garel… mais — vraiment ? — Il y a aussi Marguerite… J’étais avec Dominique. Comme d’habitude maintenant, je ne rentre à Paris que pour dormir, je trouve ça idiot de passer l'après-midi au lit, quand même, puis vers sept heures j’émerge et je vois un bout de Paris. Un bout. Une reconnaissance. Là, je suis allé à Beaubourg voir quelques splendeurs (Malevitch, Mondrian…) — et j’ai appelé Dominique qui, gentiment, m’a rejoint.
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