Friday, November 27, 2015

J’ai délaissé le sublime Printemps, été, automne, hiver… et printemps (je me suis arrêté à l’automne, me restent deux saisons) pour venir vous le dire : Par délicatesse j’ai perdu ma vie que les circonstances nous ont permis d’improviser est probablement le chef-d’œuvre de la série. Il ne tient qu’à vous. Une heure quarante de vide et de lumière dans une salle de théâtre où Gwenaël Morin m’a permis de déployer mon handicap, ma grâce et mes ténèbres, de faire les spectacles que j’aurais envie de voir, comme Marguerite Duras le disait de ses films et de ses livres… Ça commence demain samedi à 20h, jusqu’à samedi, au théâtre du Point du jour et c’est une expérience que vous ne pourrez vivre, j'en suis sûr, nulle part ailleurs...

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