Merci encore ! Pascal, pour ta pièce certes aussi étrange que j’aurais pu le désirer, mais pleine de pépites miraculeuses propres à se frayer un passage jusqu’au cœur. J’étais à peu près dans le même état qu’Annabelle pour la voir (sauf les larmes de sang) à cause d’une bronchite catastrophique qui me laisse à plat (et cause de mon désistement pour la soirée entière avec Arthur). Il s’est aussi passé que, comme je n’ai pas vu Clôture de l’amour, mais qu’on m’en a beaucoup beaucoup parlé, j’avais l’impression de voir ce spectacle aussi par transparence. Je crois que ça va bien à cette histoire de spectres d’apercevoir aussi un autre spectacle que le spectacle (et sans doute il y en avait d’autres). J’ai été subjugué par la partition sublimement exécutée par l’enfant. Comme c’était si bien fait, j’ai cru plusieurs fois que ce n’était pas un enfant… J’ai demandé à Yves si c’était un génie, mais il m’a dit que l’autre enfant était très bien aussi. C’est donc toi, le génie,
Yvno
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