L a Bible de la comédie

Je rêve de livres qu’il n’y aurait pas à écrire. Ou alors pour gagner sa vie, par un nègre. Les titres suffiraient. Au paradis les livres n’auraient aucun contenu, pages blanches comme les ailes d’un ange (et pourtant lisibles). J’imagine aussi un livre qui ne serait que d’une seule phrase, une seule phrase emberlificotée dont chacun des mots renverrait à des milliers de pages. Ces milliers de pages, non plus, inutile de les écrire, elles sont sur ce blog…

« Pourquoi ne vas-tu pas à la douce montagne qui est principe et cause de toute joie ? »