Je voudrais la force d’un enfant, cette force de l’enfant on la sent dans Rimbaud, c’est pour ça qu’on l’aime, cet arrêt net sur rien d’autre que la force d’un enfant, les générations, le mystère des générations comme des glaciers qui glissent, entraînant avec eux, entraînant, écrasant des générations d’enfants, d’animaux enveloppés, de migrants, tout ça, les glaciers des générations saccagent et saturent
Labels: beaux-arts paris
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