E spaces perdus
Bonjour Patrice Martinet,
Juste vous faire un signe — Benjamin Lazar m’a donné votre contact —, vous dire que j’aimerais beaucoup un jour faire quelque chose dans votre beau théâtre. Un théâtre, à mon sens, pour être beau, doit être hanté. Il n’y en a pas tant à Paris (il y a bien quelques théâtres abandonnés, mais que la sécurité nous interdit d’utiliser). Les Bouffes, l’Opéra, l’Odéon, l’Athénée… Marie Collin comprend ma rêverie poétique. Pourquoi ne pas inventer quelque chose à l’automne 2017 ? Ou plus tard si le temps est déjà compté. Vous trouverez ci-dessous quelques extraits du genre d’images que je fabrique. Du « théâtre chorégraphié », dit-on, qui tient de l’apparition, mais aussi avec des chanteurs (j’aimerais de plus en plus), des rêves d’opéra.
Bien à vous,
Yves-Noël Genod
Labels: correspondance
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