C’était beau, les poèmes de tes roses, de tes plantes, l’érables dont les feuilles…, le prunus…, la glycine si bien élevée et si… désinvolte, si menaçante, si apaisante… elle pourrait tout écrouler, la folle, la fautive, la pleine santé envahissante — et les roses, d’être déplacées… J’aime en été… Ma mère, tu sais, c’est comme une blessure… Elle fait semblant de parler de la mort, comme de la mort, elle blesse —
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