L eibniz
« Il dit : Quand on marche au bord de la mer, on entend le bruit d’une vague, et, une vague, c’est des milliards de petites perceptions. »
« Et toujours des petites perceptions, comme des petites fenêtres par lesquelles ils aperçoivent le réel, le flux de la vie et le flux du temps, ça, j’aimais bien, Leibniz appelle ça des monades, avec des petites ouvertures, et... ben voilà. »
« des univers, ce qu’il appelle incompossibles »
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