T oday for tomorrow
Bon samedi chers amis ! on se retrouve demain pour une dernière : que Dieu fasse qu’elle soit aussi une première ! (Elle le sera.)
Pensez bien à agrandir l’espace (pas à le rétrécir), le café tout entier — et bien au-delà du café, le bout de ville, le carrefour, les espaces derrière les murs aussi, au-dessus du plafond : il faut prendre toute la place qu’on peut ! (et on le peut). Invitez le public dans cet espace, votre espace, chaque personne et aussi les gens qui passent dans la rue. La vérité, c’est l'espace, l’atmosphère, la vérité du monde, qui fait que tout se mélange — et ce mélange, la prodigalité et l’intelligence de ce mélange (nous en savons si peu encore, nous ne savons qu’à peine ce que les arbres de certaines espèces pensent) fait la joie de nous y baigner et de nous y secourir, de le créer, le monde, la joie et son pressentiment. Espace de tous les contraires. Soyez libre, c’est-à-dire en confiance avec votre aptitude à vous montrer libre, indépendant et secret, et, quant aux textes, comme dit Depardieu : « interpréter, c’est facile ». Soyez libre de supporter votre immensité (c’est moins facile) ou d’en avoir au moins le pressentiment, la flamme !
Voici — comme toujours — quelques citations qui me tombent sous la main à l’instant — qui viennent d’Albert Einstein (tiré du Dictionnaire amoureux de l’humour juif) :
« Rien n’est plus proche du vrai que le faux. » (Phrase juive par excellence.)
« Tout doit être aussi simple que possible. Mais pas plus simple. »
« Vivre, c’est comme faire du vélo. Pour pouvoir rester en équilibre, vous devez avancer. » (N’est-ce pas ? nous en avons bien parler.)
Et la dernière :
« Si A égale succès, alors la formule est : A = X + Y + Z. X est travail. Y est jeu. Z est ferme ta bouche. »
C’est ainsi que je me tais,
Yves-Noël
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