Sunday, March 04, 2018

Ah, cool ! 
Alors oui, on peut en parler soit au tél, soit un café.
Donc on filmerait deux après-midi, dimanche 11 et lundi 12.
C’est sans public donc tu peux t’approcher très près, tourner autour.
C’est principalement un comédien (très plastique qui change de voix, de personnage tout le temps, de « masque ») qui tient le crachoir pendant 2h30. C’est lui Hamlet(s), au pluriel.
Et il y a aussi au bout d’une 1h15 deux circassiens (Rosencrantz et Guildenstern).
Et, à la fin, un fossoyeur bien sûr
Et encore plus tard, une foule, le « peuple boueux », comme le traduit François-Victor Hugo
La lumière est fixe. Dure. Une douche De la fumée l’atténue. L’espace est brut. Pas de son.
Le micro HF, tant que le comédien porte une veste, ça ne semble pas poser de problème. Quand il se dénude (dans la deuxième partie), c’est plus compliqué — je veux dire et pour porter la batterie et pour qu’on ne voit pas ça à l’image… Faut peut-être penser à un autre système. Un micro sur la caméra et quand tu t’approches on entend bien quand tu t’éloignes on le perd (mais tant pis). Je ne sais pas…
Il ne faut pas que tu penses au montage — pas pour la date, ça, c’est pas grave, mais parce que ça te prendra trop de temps, le montage… Il faut imaginer des plans séquences et p’is voilà (dit-il, celui qui n’y connait rien). Un tourné-monté, ce serait très bien. S’il manque des bouts, c’est pas grave,on peut n’avoir que des morceaux (le théâtre mettra une caméra les soirs de représentations, au fond de la salle pour la captation « mémoire ») 
Donc imagine-toi libre.
Mais j’ai pas demandé à César Vayssié avec qui je travaille souvent (et avec grand bonheur) parce qu’il est très fort à faire des clips, mais, là, je ne vois pas l’intérêt, c’est le phénomène de durée et des changements caméléons de l’acteur dans cette durée qui importe…
Voili, voilà, rapidement répondu.
Je suis très heureux de ta confiance !
Yves-Noël

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