Friday, November 09, 2018

Je voudrais, chers étudiants grenoblois que j’ai à peine croisés, entrevus, pour vous encourager à la pratique (avant tout), terminer cette si rapide — et floue — prise de contact par deux citations, l’une de Louis Jouvet (à la fin de sa vie) et l’autre de Paul Eluard (Poésie ininterrompue) :
« Il est bien vain de croire qu'on peut expliquer quelque chose dans ce métier. L'amas de gloses, de notes, la longueur des conversations qu'on peut faire tout au long de ce métier où l'action seule importe, n'a pas grande valeur. Vingt ou trente années de réflexions ne couvrent même pas une époque, et à peine aurait-on eu le temps de les écrire qu'un nouveau mouvement, une nouvelle mode, un nouveau poète, ou même un écrivain, changent tout ce qu'on peut savoir des règles du jeu. » 
« Quand je me sens perdu enfin je me repose »
Avec toute mon amitié, tous mes encouragements !
Yves-Noël 
(Gretchen : si tu peux transmettre ce mail aux participants dont je n’ai pas recueilli l’adresse : Léo, Adrien, Lily, Loélia (j’écorche), Solène) 

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