Quel sublime cadeau ! (encore un !)
C’est inouï de faire comprendre à ce point, toi et Lucian Freud (on ne peut pas dire qu’il n’y ait pas rencontre !) le tragique, l’enfermement et la lucidité (libération, s’il peut y en avoir) de l’être humain artiste (au sens, évidemment, de Hölderlin « Plein de mérites, mais en poète, / l’homme habite sur cette terre »).
Bien sûr, je ne diffuse pas !
Infiniment touché de t’avoir rencontré.
A bientôt,
Yves-Noël
Labels: correspondance
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