I gnorer
Ma chérie. Déjà, pardon pour cette colère. Puis-je te demander encore une faveur, toi qui m’en as honoré de tant ? D’effacer, si tu le peux, tout ce que j’ai dit sur ton mur car j’ai perdu deux fois très violemment mon travail pour un mot de travers sur FB (sans compter la perte de centaines d’amis). Rien qui ne soit que du malentendu. FB est une caricature de repas de famille, on le dit pourtant : ne jamais y aborder ni la politique ni la religion. Normalement, je me sèvre, je ne suis plus sur FB que pour bénéficier de Messenger bien pratique. Je me suis fait avoir encore une fois. Cette croyance qu’on pourrait intervenir dans le débat public ! On ne peut pas. Et tant mieux. C’est bien assez, déjà, de lire les journaux et de la fermer ; en tout cas, pour moi. (Passer à autre chose.) Tu me manques. J’espère te retrouver vite dans la vie non binaire...
Labels: correspondance
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