(G alerie Lelong)
Les musées sont fermés, Matisse attendra, mais le plus grand peintre vivant du monde (en tout cas de mon monde) expose rue de Téhéran et ça suffit à illuminer cette ville (pas Téhéran, Paris, peut-être Téhéran aussi). Je vais vous dire : quand vous voyez une expo de David Hockney, vous ne pensez plus que le monde va mal. Au contraire, quand vous sortez d’une expo de David Hockney, vous pensez qu’il (le monde) n’a jamais été aussi vivant, bien portant ! Et puis je vous conseille, quand la lumière a disparu, de rentrer par le beau parc Monceau, encore ouvert, presque noir, peuplé de tendresse et de liberté comme à l’étranger (des joggeurs en font le tour armés de lampes frontales)…
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