La France me fait peur. Vu d’ici, on comprend tous les exilés. J’ai joué hier VERS LE SOIR, la « conférence » sur la poésie, sur la disparition des espèces, sur l’absolu du monde, sur le paradis vue d’ici, sur l’humanité « en pièces détachées », sur l’eau profonde chez Josiane et Maurice qui avaient réuni dans leur isba près du lac une assistance choisie, une communauté d’amis. (Ce soir ce sera, à 18h30, à La Neuveville — prononcer Neuville —)
Labels: neuchâtel, vers le soir
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