Parabole
Parabole
« J’ai eu beaucoup de plaisir à lire votre Complexe de la courtisane. »
Les hôtels de l’aéroport, les langues de sucre. Brouillard parfait. Comme dans Hamlet. Lumières graves des taxis, vertes et roses.
Les ambassades, l’architecture belle comme l’amour.
Les masses de brouillard sont déposés dans ton cœur, pour ton cœur, sur ton cœur. Du plaisir à chaque étage, à chaque pas. La moquette lourde. Longue.
Feu du drame. « J’ai faim de toi. » Immensité d’un château de flammes et de brouillard. « J’ai faim de toi… »
Joan pleure. Il y a toute la mise en scène. Ces yeux sont des amandes, ces yeux de louve. (De lutte.)
Dans ces immensités de parc intérieur.
Tout est rose, tout est ce brouillard, tout est riche.
Rouge est la couleur du rêve.
Et noir est la couleur du rêve.
Pardonnez-moi ce détail, Madame, mais pas n’importe quelle femme, une femme très, très belle.
Cheveux noirs, toute vêtue de noir avec un feutre noir à large bord.
Entraîné par de menus détails…
Le policier joue d’un instrument.
Les jets d’eau miment la joie.
La joie de vivre. Marcus dit : « C’est super ! » Dans le groupe d’enfants. Levez-vous et suivez-moi ! Monsieur le policier et moi, nous allons défiler.
Et maintenant un peu de théorie, terrorisme.
En écho, en clash, en chaos, en flash.
Formes monstrueuses et pragmatiques. Un artiste oublié.
Ce livre, ce trop beau livre. La vieillesse, rêve de Vénus. Payer pour apprendre le métier.
Ah ! ne ralentis pas tes flammes ;
Réchauffe mon cœur engourdi,
…
Flamme dans notre souterrain !
Trois femmes, une chimère.
Une clinique pour les possédés.
Les bons docteurs.
(Parabole.)
Je dois vous dire que je suis ainsi fait : je ne résiste pas au charme féminin.
Lisa revient. Les fracassements des faces des images. Les reflets qu’explose le cœur. L’encre verte du gilet rouge.
Et toujours ce brouillard, ce brouillard vidéo. Mica, flammes, électricité, magie. Pas que les mots.
Des hommes en ballet naturel.
Flammes intenses, denses.
À l’intérieur du calme de l’œil. Et, brûlant lente…
Mais Madame, des cendres de cigarette…
Un suspect qu’incarne un suspect.
Dans l’orage, dans la forme de l’orage. La chambre des transmission.
Il y a là un feu de bois comme je les aime. Venez l’partager avec moi. Le prix de la rancœur.
Mais j’ai surmonté l’imaginaire.
Thème « film mystérieux ».
Yves-Noël Genod, 29 décembre 2007.
« J’ai eu beaucoup de plaisir à lire votre Complexe de la courtisane. »
Les hôtels de l’aéroport, les langues de sucre. Brouillard parfait. Comme dans Hamlet. Lumières graves des taxis, vertes et roses.
Les ambassades, l’architecture belle comme l’amour.
Les masses de brouillard sont déposés dans ton cœur, pour ton cœur, sur ton cœur. Du plaisir à chaque étage, à chaque pas. La moquette lourde. Longue.
Feu du drame. « J’ai faim de toi. » Immensité d’un château de flammes et de brouillard. « J’ai faim de toi… »
Joan pleure. Il y a toute la mise en scène. Ces yeux sont des amandes, ces yeux de louve. (De lutte.)
Dans ces immensités de parc intérieur.
Tout est rose, tout est ce brouillard, tout est riche.
Rouge est la couleur du rêve.
Et noir est la couleur du rêve.
Pardonnez-moi ce détail, Madame, mais pas n’importe quelle femme, une femme très, très belle.
Cheveux noirs, toute vêtue de noir avec un feutre noir à large bord.
Entraîné par de menus détails…
Le policier joue d’un instrument.
Les jets d’eau miment la joie.
La joie de vivre. Marcus dit : « C’est super ! » Dans le groupe d’enfants. Levez-vous et suivez-moi ! Monsieur le policier et moi, nous allons défiler.
Et maintenant un peu de théorie, terrorisme.
En écho, en clash, en chaos, en flash.
Formes monstrueuses et pragmatiques. Un artiste oublié.
Ce livre, ce trop beau livre. La vieillesse, rêve de Vénus. Payer pour apprendre le métier.
Ah ! ne ralentis pas tes flammes ;
Réchauffe mon cœur engourdi,
…
Flamme dans notre souterrain !
Trois femmes, une chimère.
Une clinique pour les possédés.
Les bons docteurs.
(Parabole.)
Je dois vous dire que je suis ainsi fait : je ne résiste pas au charme féminin.
Lisa revient. Les fracassements des faces des images. Les reflets qu’explose le cœur. L’encre verte du gilet rouge.
Et toujours ce brouillard, ce brouillard vidéo. Mica, flammes, électricité, magie. Pas que les mots.
Des hommes en ballet naturel.
Flammes intenses, denses.
À l’intérieur du calme de l’œil. Et, brûlant lente…
Mais Madame, des cendres de cigarette…
Un suspect qu’incarne un suspect.
Dans l’orage, dans la forme de l’orage. La chambre des transmission.
Il y a là un feu de bois comme je les aime. Venez l’partager avec moi. Le prix de la rancœur.
Mais j’ai surmonté l’imaginaire.
Thème « film mystérieux ».
Yves-Noël Genod, 29 décembre 2007.
Labels: yves-noël genod dispariteur parabole film mystérieux
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