Tuesday, January 01, 2008

L’amour est aveugle, Elizabeth

L’amour est aveugle, Elizabeth










Une maison pleine de gadgets. Et le mot « Harold », « Harold » prononcé plein de fois. Enregistre le bleu, enregistre le bruit, la boiserie. Bruits de doute, bruits de voix. Un rhume – et l’amour. L’amour. La queue d’une hypothèse. Regarde, avec du fil, par où tu passes, par où tu peux passer… Partout, presque. Son chien, son âge, son temps… Le temps qu’il fait. Pour tous. La pelouse, la terre meuble… Pourquoi ne pas laisser votre chien s’ébattre en liberté ? La propriété est bien close, il ne se sauvera pas.










Et trouve-toi un chat ! Le p’tit clown dans son fauteuil.
Eh bien, sachez que l’on ne peut pas expliquer l’art. Je veux dire que c’est une chose qui se ressent. Quand vous regardez un tableau ou une sculpture ou vous vibrez ou vous ne vibrez pas, c’est tout. Et ça s’appelle : Esprit d’un chien mord. Oui, y a un jeu de mot avec un chien qui mord. J’ai pris la grille de ventilation pour une œuvre d’art. Le petit test. Et la remise en jeu.










Qu’est-ce que vous voyez ? – J’en suis pas sûr… j’en suis pas sûr. Le coupable fait confiance au policier au moment où il est pris. Les images d’une pièce vide.










Yves-Noël Genod, 1er janvier 2008.

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