Sunday, January 20, 2008

Les Papous

Les Papous










J’ai mangé un peu cru.
Nuit bleue et blanche.



Se remplir le ventre d’une nourriture pour les yeux. Le soupçon de pudeur qui convient.



Pas d’violence, c’est les vacances.
Quand y a du monde ou du bruit ou les trois.



Moi, tous les matins, je casse le vent.
Dans un ensemble de miroirs.



On dirait des toilettes publiques, ici.
Or, gaz et pétrole.










Clinica psichiatrica.
Visage exorbité.
L’homme abattu.

Les voitures du parc, du château et des avenues.



Dans la glace, les blocs de joie.
Les fleurs de joie.

Dans la glace de la banquise.
C’est fou, c’est fou…

… mort naturelle dans leur château. Le docteur fou. Toutes les nuances. Château, château…

J’ai lu.

Enfin ces nuits… Quelques coups de fil.
Les forêts, les rendez-vous.










Des sous-bois particuliers. Les herbes, les légumes. Maman. Sa mère…

La circulation moderne a été interdite dans tout Le Vésinet.

Amoureux d’une fille, d’une vilaine, une beauté…

Non, Edmée, Edmée, vous n’m’aimez plus ! Des animaux normaux.

Une image aussitôt apparue parcelle (harcèle) mon esprit en ce matin blafard. Cette image de toi, mon amour, c’est un nu. La vérité, l’histoire va s’échauffer. …reviennent à la vie…
Et la télévision du temps vieilli… Une télévision cachée en 1900.

(Il ne reconnaît pas son vieil ami.) Forget. Forget…










Yves-Noël Genod, 20 janvier 2008.

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