Sunday, February 10, 2008

L’arnaque

L’arnaque










Certaines personnes ont vécu leur jeunesse. Moi, non. Je cherchais le mot. Leur enfance. La force négative de Valéry. L’impériale force. Transparent, le pastel des yeux, transporté. It’s a God auwful small affair. Un rêve coulé. Nuit, les nuées, l’éclair chaud du couchant… Le « passionné » sur tous les plans. Planet Earth is blue and there’s nothing I can do… Les œuvres apparaissent, sans inconvénient. La musique lie. Relie. Les radios répandent la bonne musique. Les yeux clairs. Les éclaboussures éclatantes. C’est décidé. I may be white, but I’m a white nigger (you ask anybody). Fumer une cigarette quand tout est dit. Enfin… ce genre de cigarettes. Des éclatants ciels, des éclatantes nuits. L’heure. Importe. Chaleur de miel, de caramel avec les taches de feu bleu. Le froid, si on n’allume pas. Un grand roman. Sans style. Une couverture drapée sur tes genoux. (Un plaid.) Just for a change, you know. Suffit d’mettre en rapport. L’envahissement d’une musique calme – avec des couleurs spécieuses. Daily life is so documented. Les imbéciles vitraux. Étroits, des miroirs. Moment for literature. Storytellers. Right at the end of the story, turning back into a new love story. Modestly dressed. De n’avoir pas lu les livres. Mais parcouru. Parcouru The Satanic Verses. Ou entendu-lu. La langue, forcément par certaines manières féminine. Intonations. Forcément, par certaines manières, transformant l’homme en folle, par endroits. Si on veut faire les intonations... Why are you sure he will kill you ? – It’s his word against mine. Sa parole. Est-il possible que le sens – et pas plus – soit contenu à peu près partout en tâtonnant… Divine sanction. … avec cette manière de mettre un mot après l’autre, ça ne doit pas être ça, la littérature, ça ne peut pas être ça. The fishy smell. L’altération...










Yves-Noël Genod, 10 février 2008.

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