On accusera Rebecca (eschatologie)
L’ancre des rêves
Déjà des rivières
N’importe laquelle
Les trains traversent (
Sens de long en
Large)
Le conflit des trains
Amitié infime,
Démesurée
La région
(Dans la région
Toutes les gares
Ont des
Noms
De vins)
Nuits-St Georges
Meursault
Immense marché
Au marché c’matin
(Avec accent bourgui
Gnon)
Quelle est la différence
Entre une moule et
Une huître
– Chais pas.
– Ben est-ce que t’as
Déjà ouvert une huître avec
La langue hé hé
J’ai vécu selon la
Bible pendant 1 an
Tu mangeras pas
L’agneau dans le lait
De sa mère
Ligne de partage des
Eaux
Tu savais que si tu
Passes Elvis, en vinyle
De 33 à 45 tours ça
Donne la voix d’Édith
Piaf (d’où le succès
Américain
De La Môme)
On longe le Morvan
Et on se dirige vers
Époisses !
Hot rock
La boîte du coin
On va vers Époissotte
(Nom d’une fille
Stupide qui sent pas très bon, une époissotte)
Les vaches sont des
Sculptures d’art contem
Porain
Tout en marbre blanc,
En craie
La Seine, elle préfère
Je suis cœur
Avec un cœur
Sans cœur
Je suis chat avec une
Chatte
Je veux dire que je
Suis ça
Moi aussi je
Suis sage
Je suis un singe
Je ne suis pas un
Tueur je suis
Homme
Je sais que les
Astronomes ont vu
Des canaux
Le soleil c’est la
Raison
Je sais que les
Gens abusent de
Décomposition
L’exercice pour les doigts
C’est une si belle
Région qui apparaît
La région de la fin
Du faux amour
Du feu amour. Il y a
L’amour, mais il n’est
Plus faux
Il est plein de promesse
Un train qui brille un
Passage dans le ventre
Pur Dieu n’est pas
Actif mais c’est le
Paradis
Le petit château… immense
Le corps du cœur
(Qu’on ait une visibilité
Un peu plus large que locale)
Ben ça ne peut pas
Venir du jour au lende
Main
Il faut qu’un
Amour soit secret
L’intelligence
Est un soleil
Éteint qui se
Décompose
La nature plus belle qu’
Une femme
Blés murs
Et courbes
Avec le bleu horizontal
Pour lever la tête
« On voit loin de tous
Les côtés ici »
C’est pas haut
400 m d’altitude
Perdu mais pas
Perdu
Un titre de livre :
Buvant seul sous la lune
Ô manque malheureux
L’allée
Une présence allée
Directement du ciel,
L’été
Avec du son
Léger
Harmonica
Accordéon
Léger par rapport à
L’ensemble
Et l’ensemble est léger
Sentir les mouches et
Les insectes familiers
Occupés
« On appelle enfer quand
les gens se disputent. »
Nijinski
Je sais que les étoiles qui
Clignotent sont des soleils.
Solitude brûlante
La panne semble chez eux
Un état naturel
Tes cheveux blonds
À la barrière
Un soir sans femme
La terre monte monte
Jusqu’au pied
Couverte de cette peluche
Verte
Cette moustiquaire
On s’est vu ce matin
J’étais au volant de
La voiture de J B
Toute autre science est
Dommageable à celui
Qui n’a la science de la
Bonté
Tandis que nous parlons,
Sur le fleuve se posent
Les couleurs du crépuscule
Vous n’avez que 16 ans
Et ça vous va très bien
Qu’est-ce qui vous fait
Vous évanouir ? Tuer
Un oiseau ?
On accusera Rebecca
On a l’impression
Qu’on pourrait
Aller sur la lune
À mesure que la nuit
Tourne,
Vient
Les creux les bosses
Se font jour
Comme sur la lune
– Tu cherches ta maman ?
Les hommes dominent la
Terre – pour le meilleur
L’horizon, la surface
De la planète
Le bord
Une étoile ou une voile
L’immensité
D’être. Absurdement
Sans savoir
Sans rêve
Nuit parfaite, dorée
Tout ce qui s’allume
S’allume pourtant
Tes cheveux à la barrière
Une petite maison
Une petite lumière
De maison
Heureux comme
Avec Hélèna
Le feu
(He’s) the web designer
Vous m’avez pris à
L’im…
Souvent femme varie
C’est magnifique
Partout
(Vous faites des
Spectacles)
Et dans l’art
Comptant pour
Rien ?
Les soirs d’anniversaire
Day one
With the star
Ensemble tout
Devient possible
…For food, for
Security…
C’est comme la mer
Pénétrer le vent
Et sur le boul’vard en
Automne
Tous les philosophes
Qu’est-ce qu’elles ont ?
– Oh elles sont saoules
– Elles gloussent
Il pleut passionnément
Des aiguilles de joie
L’envie vin
L’envie veut
Marius toujours levé
Toujours vivant. Marius
Est un enfant.
En méandres d’amour
Il paraît le monde
De votre chambre ronde
La beauté chopée de
L’eau du regard
Ma nana même
Se voulant tendre…
Le désir disparaître
Au fond de la corbeille
À papier
Ces acteurs de
Tchekhov
Bonheurs dont
Les éclosions…
Les dernières larmes
Film de peur
Par la fenêtre de mon
Amour
Flou américain
La mouche, c’était
La mouche qui me calmait
La grange
L’orgue de St Jean
Se languit
Au-delà du buisson
De lavatères, c’est comme
La mer
Les ordres viennent de Dieu
… J’ai l’impression que…
Il est plat le plafond
Le paysage qui vit
Lui souvent se met à
L’envers ce qui fait que
Quand on l’écoute
On voit le paysage
Le canapé aussi était à
L’envers (intournable)
Pour le concert
Enlarge your penis
Les lavatères – se taire
…Quelque chose que tu
Connais et qui est
Recouvert de neige
…Et on voit dépasser
Le bout des collines
Là on a vraiment
L’impression d’être à
La mer
…Tu te lèves et tout
A disparu
On a l’impression que c’est
Une mer, un paysage
De rêve
La Terre Pleine
C’est une région, quoi
Les rossignols chantent
À minuit
Le petit insecte sur les
Poils culbute
Glossolalie
Nutella vous accompagne
Au quotidien…
Le TGV pénètre, traverse
Le paysage immaculé
Tout est reflet, tout
Est miroir,
Tout est écho dans la
Maison
Noisettor
Debout 2 pianos
La nuit des lavatères
En plein gris de la
Lumière
Le buis et la fumée
Qui veut un dernier
Chocolat avant liquida
Tion totale ?
Francis Jammes
Est tout sourire dans
Sa tombe
Les authentiques et les autres
En toc
La grosse colline molle
Est plein d’ombre
Et de décomposition
La demi moustache de
Chocolat Lanvin
Dos au paysage
Tourné vers le Sud
Le Sud du paysage
Les vaches sur le bord
De la colline occupées
Depuis t’t à l’heure
Le château, chaque
Fois qu’on tourne la
Tête, il est toujours là
Le château fort
Rigolo, si gentil,
Si vivant
Et les vaches qui descendent
Et les vaches qui remontent
Le monde – comment
Tenons-nous au soleil
La lascivité, c’est féminin
On pourrait se retrouver
En secret
La musique envahissante
Envahissant le monde
Le monde est rond, petite
Fille
Paris fille lumière
De la maison, on
Entend un piano
Les taches des forêts, des
Laines, des moquettes
Entendent aussi
Les pianos
Et rebondissent la ligne
De crête du bord
De la colline
En soubassement
La ligne molle et
Voyageuse
Comme une femme alanguie
Rien ne fait peur néanmoins
Tes cheveux blonds à la
Barrière
Le paysage reconnaissance
Chaude
Il est vert et il chauffe
Le vent du Far West
Touche certains arbres
Et pas d’autres
Laura m’a convaincu
De rester
Tomates sucrées
L’hiver il fait très froid
Solitude, vague sollicitude
Si une femme est gentille
Je la protège
Le verger – en pente
Contre le Sud
Le poulain est intéressé
Un peu quand j’écris
L’âne comme enfermé
Dans le paysage
Torture le désert
La pierre résonne
Quelque part
L’ongle gratte la
Pierre qui résonne
À 1 heure de Paris
Il y a (comme) la tapisserie (de
Bayeux)
Le désert et Paris
Sur plein de produits du
Quotidien
La paix – l’absence d’une
Femme
Le bleu – la présence
Il va faire beau toute
La s’maine prochaine
Il est très très docile on
Peut l’raisonner
La lavande se déverse
Le soleil il nous aime
La paix, l’intensité bleue
Des tourterelles grosses
Oreilles
La sexualité lourde des
Fleurs
Les althéas
Ici ça marche très bien
En Bourgogne
Elle est drôle (grosse) ta lavande
Dis donc
– Oh elle est insupportable
Si t’es mal avec ton
Voisin tu peux pas vivre
À la campagne
Blanches et noires, ce
Sont les hirondelles
À partir de 7 h du soir
Viennent boire
Je déteste tout ce qui est
Mammifères petits
Y a des prunes, Jacqueline ?
Et on a une amie qui
Fume et qui boit et
Qui fume et qui boit
Y a 0 pêche y a 0 prune
Et y a quelques pommes
Né pour briller
Par la vitrine, la glace
Il faut mettre la fourrure
Au frigo l’été
Des vaches normandes
Au bord de la mer
Sur la plage
C’est à dire la soirée
On ne peut rien faire
De plus beau
Musique si vous voulez
Peu importe
Et les vitres non
Le bord la planète étrange
Et familière
La lenteur, cet étonnement
D’être pris dedans
Le moyeu
L’endroit exact
La bonne planque
C’est agréable
La ligne d’horizon qui
Flanche
La nourriture dans l’assiette
Légère primesautière
Rouge
Champagne et Bourgogne
Soirée luxe, que
Du luxe, je
Repense à toi, Thomas
Parce qu’un rôti sans
Patates c’est comme
Un rôti sans patate
La chaise près du piano
L’enfer et le paradis,
C’est comme une espèce de
Machine
Le bleu s’intensifie
L’archi-bleu
Le Sacrifice
Le chat roux en est
L’opposé
Le bleu infini la terre
Alors qu’on mange
Qu’on a fini le rôti
De porc
Succulent
Au vin de Bourgogne
Non, au Ventoux
Dans une espèce de
Baraque chauffée dans
Les enfers
(Parce qu’en fait pour
Dante l’enfer est froid)
La disparition ne laisse
Pas d’sens (à la place
De « trace »)
« Pars pas les mains
Vides », ça m’rappelle ma
Mère !
Mais la nuit perçue
Est apparue
Au bord de la mer
Mais la mer, c’est la terre
La véranda fluide
La musique tout devient
Musique
Magnificat quand même
Thé, café, moi ?
(Tea, coffee, me ?)
Ah j’vais tenter prune
Et chocolat
Il efface ce qui s’est passé
On dit que les salades
Émettent comme des
Cris quand elles sortent
De terre
Puissance d’être l’été
Pour amante la liberté
Sainte Joséphine Baker
Rosa Rouge
Le long de la mer
Le face à la mer
La nuit de la mer
La nuit apaisée
Sans la mer
La mer
Maman l’interdit
Mais constate
Je suis nue et j’ai soif
Tout pour la rime
Un lit avec des draps
Dedans
On peut pas avoir les p’tits
Oiseaux et la haute technologie
Dans le verger j’ai
Eu peur des serpents
L’oiseau jaune avait
Peur à grand fracas
De ma pénétration
Cheveux lents ces
« Graminées » au bord
Des fossés
Peignées dans le sens
Du vent
Grand beau temps
Liseron clairon
La coupe de ch’veux
L’ombre forme une
Piscine, sous l’arbre,
Par exemple
C’est à dire qu’à un moment
La verdure la terre est
Pleine de décision
Face au soleil
C’est à dire : sous le soleil
Exactement
La ligne bleue du soir en
Fond d’écran
Cette ligne d’horizon
Faillible du Morvan
C’est pas la campagne
C’est la planète
La planète ronde
Et large
(Y a d’la place)
Largement ronde
La petite planète infinie
Bienvenu aux extra-terrestres
C’est une image une
Idée,
On ne voit pas si loin
Ces couleurs nettes, radicales
Ces monochromes
Qui cachent
Blés, bleu
Blés coupés, bleu ras
Quelques touffes de poils
De pubis
Il avait raison
« Heureux comme avec une
Femme »
Paix – Pisy
C’est paisible
D 44
L’arrêt Montbard
Des coins
Dans la chaleur vacante
Si tu t’fais mordre
Par une couleur,
Par une couleuvre
Il s’était fait mordre
Par une couleuvre
Quand il était petit
Les méduses ne sont
Pas des individus
Ce sont des colonies
D’individus
Chaque élément de la
Méduse est pareil
Que les autres
Le langage est totalement
Arbitraire
Quand tu dis forêt
Et que ça ne correspond
Pas à une forêt
Les premiers pas, c’est
L’hermétisme
(Je pense que)
Quand tu nommes qqchose
Y a une déperdition
De réel
La plus belle conquête
De l’homme après
Le cheval, c’est le il
C’est Dieu qui parle
En nous
Des crises
Le critère
Scientifique
Absolu c’est
L’invalidation
Quand on la regarde
Elle apparaît
Quand on la regarde
Pas elle est comme
Une onde
Ça c’est très Tchekhov
Aussi
Un atome d’eau,
Une molécule d’eau
Est plus vivant est
Plus vivante que la mer
Plus c’est complexe,
Plus c’est fragile
D’imprévisibles apocalypses
Oui, moi aussi je m’aime
Même si la fourmi
Vient de me piquer
Les sociétés qui se livrent
À la fois à la chasse et à la
Pêche
Le château là aussi
Est évident
Il se met, au loin,
À faire de la musique
La boule de riz
Les animaux-buissons
Les animaux-fleurs
Les rondeurs rondes
Par en dessous par
L’intérieur
Par la musique
Mais le mot n’est pas la
Chose
Nous avons dix doigts
La pentadactylie
La maison, elle prend le bain
Le bain de soleil
Et le chien il erre
(Chat)
Il erre à la recherche
De rien
– Le chat –
Rouge et rose
Les altéas leur robe
Pina Bausch
Leur robe de fleur
Dans l’enrobage de la
Chaleur
La chaleur vacante
Les chevaux siamois
L’entrée dans le nouveau
Siècle
Six mille ans après la
Création
Croyant
« Satan serait bientôt déchaîné
Car les mille ans ont été
Accomplis »
Le pas très très loin,
Le très loin
Le cheval, l’un au soleil
L’autre à l’ombre
Un océan de défauts (si
On regarde les défauts on
Ne voit pas l’océan)
Maintenant
Une molaire gigantesque
Finir la bière
Une invention accidentelle,
Imprévisible
Bleu lourd,
Bleu nuit
Cet unique exemple sur la
Terre…
Le sourire du flamant rose
Affaissement montée
Même direction
Corps respire despire
Dans l’air les roses
Lavatères
Un jour vous avez
100 possibilités
Revenu à Paris, je
Voilà, je n’ai plus
De femme officiellement
Bien qu’elle m’ait envoyé
Un message pour
Me dire qu’elle
M’aimait
(Souvent femme varie)
Mars avait de l’eau courante
Nous ne disposons que
D’un unique exemple, la
Terre
T’as essayé d’m’app’ler ?
…Un message quand j’arriverai
À l’hôtel
Pour les Juifs la vie est
Un pèlerinage
Et puis tu sais hier j’ai pensé à toi parce que
Je suis allée à mon ancien boulot
YNG, Pisy, 20, 21, 22, 23 juil 08.
Déjà des rivières
N’importe laquelle
Les trains traversent (
Sens de long en
Large)
Le conflit des trains
Amitié infime,
Démesurée
La région
(Dans la région
Toutes les gares
Ont des
Noms
De vins)
Nuits-St Georges
Meursault
Immense marché
Au marché c’matin
(Avec accent bourgui
Gnon)
Quelle est la différence
Entre une moule et
Une huître
– Chais pas.
– Ben est-ce que t’as
Déjà ouvert une huître avec
La langue hé hé
J’ai vécu selon la
Bible pendant 1 an
Tu mangeras pas
L’agneau dans le lait
De sa mère
Ligne de partage des
Eaux
Tu savais que si tu
Passes Elvis, en vinyle
De 33 à 45 tours ça
Donne la voix d’Édith
Piaf (d’où le succès
Américain
De La Môme)
On longe le Morvan
Et on se dirige vers
Époisses !
Hot rock
La boîte du coin
On va vers Époissotte
(Nom d’une fille
Stupide qui sent pas très bon, une époissotte)
Les vaches sont des
Sculptures d’art contem
Porain
Tout en marbre blanc,
En craie
La Seine, elle préfère
Je suis cœur
Avec un cœur
Sans cœur
Je suis chat avec une
Chatte
Je veux dire que je
Suis ça
Moi aussi je
Suis sage
Je suis un singe
Je ne suis pas un
Tueur je suis
Homme
Je sais que les
Astronomes ont vu
Des canaux
Le soleil c’est la
Raison
Je sais que les
Gens abusent de
Décomposition
L’exercice pour les doigts
C’est une si belle
Région qui apparaît
La région de la fin
Du faux amour
Du feu amour. Il y a
L’amour, mais il n’est
Plus faux
Il est plein de promesse
Un train qui brille un
Passage dans le ventre
Pur Dieu n’est pas
Actif mais c’est le
Paradis
Le petit château… immense
Le corps du cœur
(Qu’on ait une visibilité
Un peu plus large que locale)
Ben ça ne peut pas
Venir du jour au lende
Main
Il faut qu’un
Amour soit secret
L’intelligence
Est un soleil
Éteint qui se
Décompose
La nature plus belle qu’
Une femme
Blés murs
Et courbes
Avec le bleu horizontal
Pour lever la tête
« On voit loin de tous
Les côtés ici »
C’est pas haut
400 m d’altitude
Perdu mais pas
Perdu
Un titre de livre :
Buvant seul sous la lune
Ô manque malheureux
L’allée
Une présence allée
Directement du ciel,
L’été
Avec du son
Léger
Harmonica
Accordéon
Léger par rapport à
L’ensemble
Et l’ensemble est léger
Sentir les mouches et
Les insectes familiers
Occupés
« On appelle enfer quand
les gens se disputent. »
Nijinski
Je sais que les étoiles qui
Clignotent sont des soleils.
Solitude brûlante
La panne semble chez eux
Un état naturel
Tes cheveux blonds
À la barrière
Un soir sans femme
La terre monte monte
Jusqu’au pied
Couverte de cette peluche
Verte
Cette moustiquaire
On s’est vu ce matin
J’étais au volant de
La voiture de J B
Toute autre science est
Dommageable à celui
Qui n’a la science de la
Bonté
Tandis que nous parlons,
Sur le fleuve se posent
Les couleurs du crépuscule
Vous n’avez que 16 ans
Et ça vous va très bien
Qu’est-ce qui vous fait
Vous évanouir ? Tuer
Un oiseau ?
On accusera Rebecca
On a l’impression
Qu’on pourrait
Aller sur la lune
À mesure que la nuit
Tourne,
Vient
Les creux les bosses
Se font jour
Comme sur la lune
– Tu cherches ta maman ?
Les hommes dominent la
Terre – pour le meilleur
L’horizon, la surface
De la planète
Le bord
Une étoile ou une voile
L’immensité
D’être. Absurdement
Sans savoir
Sans rêve
Nuit parfaite, dorée
Tout ce qui s’allume
S’allume pourtant
Tes cheveux à la barrière
Une petite maison
Une petite lumière
De maison
Heureux comme
Avec Hélèna
Le feu
(He’s) the web designer
Vous m’avez pris à
L’im…
Souvent femme varie
C’est magnifique
Partout
(Vous faites des
Spectacles)
Et dans l’art
Comptant pour
Rien ?
Les soirs d’anniversaire
Day one
With the star
Ensemble tout
Devient possible
…For food, for
Security…
C’est comme la mer
Pénétrer le vent
Et sur le boul’vard en
Automne
Tous les philosophes
Qu’est-ce qu’elles ont ?
– Oh elles sont saoules
– Elles gloussent
Il pleut passionnément
Des aiguilles de joie
L’envie vin
L’envie veut
Marius toujours levé
Toujours vivant. Marius
Est un enfant.
En méandres d’amour
Il paraît le monde
De votre chambre ronde
La beauté chopée de
L’eau du regard
Ma nana même
Se voulant tendre…
Le désir disparaître
Au fond de la corbeille
À papier
Ces acteurs de
Tchekhov
Bonheurs dont
Les éclosions…
Les dernières larmes
Film de peur
Par la fenêtre de mon
Amour
Flou américain
La mouche, c’était
La mouche qui me calmait
La grange
L’orgue de St Jean
Se languit
Au-delà du buisson
De lavatères, c’est comme
La mer
Les ordres viennent de Dieu
… J’ai l’impression que…
Il est plat le plafond
Le paysage qui vit
Lui souvent se met à
L’envers ce qui fait que
Quand on l’écoute
On voit le paysage
Le canapé aussi était à
L’envers (intournable)
Pour le concert
Enlarge your penis
Les lavatères – se taire
…Quelque chose que tu
Connais et qui est
Recouvert de neige
…Et on voit dépasser
Le bout des collines
Là on a vraiment
L’impression d’être à
La mer
…Tu te lèves et tout
A disparu
On a l’impression que c’est
Une mer, un paysage
De rêve
La Terre Pleine
C’est une région, quoi
Les rossignols chantent
À minuit
Le petit insecte sur les
Poils culbute
Glossolalie
Nutella vous accompagne
Au quotidien…
Le TGV pénètre, traverse
Le paysage immaculé
Tout est reflet, tout
Est miroir,
Tout est écho dans la
Maison
Noisettor
Debout 2 pianos
La nuit des lavatères
En plein gris de la
Lumière
Le buis et la fumée
Qui veut un dernier
Chocolat avant liquida
Tion totale ?
Francis Jammes
Est tout sourire dans
Sa tombe
Les authentiques et les autres
En toc
La grosse colline molle
Est plein d’ombre
Et de décomposition
La demi moustache de
Chocolat Lanvin
Dos au paysage
Tourné vers le Sud
Le Sud du paysage
Les vaches sur le bord
De la colline occupées
Depuis t’t à l’heure
Le château, chaque
Fois qu’on tourne la
Tête, il est toujours là
Le château fort
Rigolo, si gentil,
Si vivant
Et les vaches qui descendent
Et les vaches qui remontent
Le monde – comment
Tenons-nous au soleil
La lascivité, c’est féminin
On pourrait se retrouver
En secret
La musique envahissante
Envahissant le monde
Le monde est rond, petite
Fille
Paris fille lumière
De la maison, on
Entend un piano
Les taches des forêts, des
Laines, des moquettes
Entendent aussi
Les pianos
Et rebondissent la ligne
De crête du bord
De la colline
En soubassement
La ligne molle et
Voyageuse
Comme une femme alanguie
Rien ne fait peur néanmoins
Tes cheveux blonds à la
Barrière
Le paysage reconnaissance
Chaude
Il est vert et il chauffe
Le vent du Far West
Touche certains arbres
Et pas d’autres
Laura m’a convaincu
De rester
Tomates sucrées
L’hiver il fait très froid
Solitude, vague sollicitude
Si une femme est gentille
Je la protège
Le verger – en pente
Contre le Sud
Le poulain est intéressé
Un peu quand j’écris
L’âne comme enfermé
Dans le paysage
Torture le désert
La pierre résonne
Quelque part
L’ongle gratte la
Pierre qui résonne
À 1 heure de Paris
Il y a (comme) la tapisserie (de
Bayeux)
Le désert et Paris
Sur plein de produits du
Quotidien
La paix – l’absence d’une
Femme
Le bleu – la présence
Il va faire beau toute
La s’maine prochaine
Il est très très docile on
Peut l’raisonner
La lavande se déverse
Le soleil il nous aime
La paix, l’intensité bleue
Des tourterelles grosses
Oreilles
La sexualité lourde des
Fleurs
Les althéas
Ici ça marche très bien
En Bourgogne
Elle est drôle (grosse) ta lavande
Dis donc
– Oh elle est insupportable
Si t’es mal avec ton
Voisin tu peux pas vivre
À la campagne
Blanches et noires, ce
Sont les hirondelles
À partir de 7 h du soir
Viennent boire
Je déteste tout ce qui est
Mammifères petits
Y a des prunes, Jacqueline ?
Et on a une amie qui
Fume et qui boit et
Qui fume et qui boit
Y a 0 pêche y a 0 prune
Et y a quelques pommes
Né pour briller
Par la vitrine, la glace
Il faut mettre la fourrure
Au frigo l’été
Des vaches normandes
Au bord de la mer
Sur la plage
C’est à dire la soirée
On ne peut rien faire
De plus beau
Musique si vous voulez
Peu importe
Et les vitres non
Le bord la planète étrange
Et familière
La lenteur, cet étonnement
D’être pris dedans
Le moyeu
L’endroit exact
La bonne planque
C’est agréable
La ligne d’horizon qui
Flanche
La nourriture dans l’assiette
Légère primesautière
Rouge
Champagne et Bourgogne
Soirée luxe, que
Du luxe, je
Repense à toi, Thomas
Parce qu’un rôti sans
Patates c’est comme
Un rôti sans patate
La chaise près du piano
L’enfer et le paradis,
C’est comme une espèce de
Machine
Le bleu s’intensifie
L’archi-bleu
Le Sacrifice
Le chat roux en est
L’opposé
Le bleu infini la terre
Alors qu’on mange
Qu’on a fini le rôti
De porc
Succulent
Au vin de Bourgogne
Non, au Ventoux
Dans une espèce de
Baraque chauffée dans
Les enfers
(Parce qu’en fait pour
Dante l’enfer est froid)
La disparition ne laisse
Pas d’sens (à la place
De « trace »)
« Pars pas les mains
Vides », ça m’rappelle ma
Mère !
Mais la nuit perçue
Est apparue
Au bord de la mer
Mais la mer, c’est la terre
La véranda fluide
La musique tout devient
Musique
Magnificat quand même
Thé, café, moi ?
(Tea, coffee, me ?)
Ah j’vais tenter prune
Et chocolat
Il efface ce qui s’est passé
On dit que les salades
Émettent comme des
Cris quand elles sortent
De terre
Puissance d’être l’été
Pour amante la liberté
Sainte Joséphine Baker
Rosa Rouge
Le long de la mer
Le face à la mer
La nuit de la mer
La nuit apaisée
Sans la mer
La mer
Maman l’interdit
Mais constate
Je suis nue et j’ai soif
Tout pour la rime
Un lit avec des draps
Dedans
On peut pas avoir les p’tits
Oiseaux et la haute technologie
Dans le verger j’ai
Eu peur des serpents
L’oiseau jaune avait
Peur à grand fracas
De ma pénétration
Cheveux lents ces
« Graminées » au bord
Des fossés
Peignées dans le sens
Du vent
Grand beau temps
Liseron clairon
La coupe de ch’veux
L’ombre forme une
Piscine, sous l’arbre,
Par exemple
C’est à dire qu’à un moment
La verdure la terre est
Pleine de décision
Face au soleil
C’est à dire : sous le soleil
Exactement
La ligne bleue du soir en
Fond d’écran
Cette ligne d’horizon
Faillible du Morvan
C’est pas la campagne
C’est la planète
La planète ronde
Et large
(Y a d’la place)
Largement ronde
La petite planète infinie
Bienvenu aux extra-terrestres
C’est une image une
Idée,
On ne voit pas si loin
Ces couleurs nettes, radicales
Ces monochromes
Qui cachent
Blés, bleu
Blés coupés, bleu ras
Quelques touffes de poils
De pubis
Il avait raison
« Heureux comme avec une
Femme »
Paix – Pisy
C’est paisible
D 44
L’arrêt Montbard
Des coins
Dans la chaleur vacante
Si tu t’fais mordre
Par une couleur,
Par une couleuvre
Il s’était fait mordre
Par une couleuvre
Quand il était petit
Les méduses ne sont
Pas des individus
Ce sont des colonies
D’individus
Chaque élément de la
Méduse est pareil
Que les autres
Le langage est totalement
Arbitraire
Quand tu dis forêt
Et que ça ne correspond
Pas à une forêt
Les premiers pas, c’est
L’hermétisme
(Je pense que)
Quand tu nommes qqchose
Y a une déperdition
De réel
La plus belle conquête
De l’homme après
Le cheval, c’est le il
C’est Dieu qui parle
En nous
Des crises
Le critère
Scientifique
Absolu c’est
L’invalidation
Quand on la regarde
Elle apparaît
Quand on la regarde
Pas elle est comme
Une onde
Ça c’est très Tchekhov
Aussi
Un atome d’eau,
Une molécule d’eau
Est plus vivant est
Plus vivante que la mer
Plus c’est complexe,
Plus c’est fragile
D’imprévisibles apocalypses
Oui, moi aussi je m’aime
Même si la fourmi
Vient de me piquer
Les sociétés qui se livrent
À la fois à la chasse et à la
Pêche
Le château là aussi
Est évident
Il se met, au loin,
À faire de la musique
La boule de riz
Les animaux-buissons
Les animaux-fleurs
Les rondeurs rondes
Par en dessous par
L’intérieur
Par la musique
Mais le mot n’est pas la
Chose
Nous avons dix doigts
La pentadactylie
La maison, elle prend le bain
Le bain de soleil
Et le chien il erre
(Chat)
Il erre à la recherche
De rien
– Le chat –
Rouge et rose
Les altéas leur robe
Pina Bausch
Leur robe de fleur
Dans l’enrobage de la
Chaleur
La chaleur vacante
Les chevaux siamois
L’entrée dans le nouveau
Siècle
Six mille ans après la
Création
Croyant
« Satan serait bientôt déchaîné
Car les mille ans ont été
Accomplis »
Le pas très très loin,
Le très loin
Le cheval, l’un au soleil
L’autre à l’ombre
Un océan de défauts (si
On regarde les défauts on
Ne voit pas l’océan)
Maintenant
Une molaire gigantesque
Finir la bière
Une invention accidentelle,
Imprévisible
Bleu lourd,
Bleu nuit
Cet unique exemple sur la
Terre…
Le sourire du flamant rose
Affaissement montée
Même direction
Corps respire despire
Dans l’air les roses
Lavatères
Un jour vous avez
100 possibilités
Revenu à Paris, je
Voilà, je n’ai plus
De femme officiellement
Bien qu’elle m’ait envoyé
Un message pour
Me dire qu’elle
M’aimait
(Souvent femme varie)
Mars avait de l’eau courante
Nous ne disposons que
D’un unique exemple, la
Terre
T’as essayé d’m’app’ler ?
…Un message quand j’arriverai
À l’hôtel
Pour les Juifs la vie est
Un pèlerinage
Et puis tu sais hier j’ai pensé à toi parce que
Je suis allée à mon ancien boulot
YNG, Pisy, 20, 21, 22, 23 juil 08.
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