La vie parisienne
Difficulté de vivre
Aujourd'hui, Hélèna s’est levée tôt dans son petit appartement du fond du XVIIIème arrondissement de Paris, a déjeuné et a passé beaucoup, beaucoup de temps à choisir – avec beaucoup de concentration – et je ne devais pas la distraire – et je ne pouvais que donner mon avis d’expert (d’artiste) – la tenue qu’elle allait porter pour – elle a choisi finalement une robe en lamé rose un peu osée pour l’heure matinale – mais je l’ai bien sûr encouragée – pour – pour – pour donc aller interviewer à l’hôtel Fouquet’s – pour « Elle » – je vous le donne en mille : Roger Moore ! (Amicalement Vôtre.)
Vers midi, voici ce que je lui envoyai : « Alors, il t’a emmenée dans sa chambre, le James Bond ? » Et elle me répondit : « Oui, avec sa femme, son agent, son assistant, l’éditeur et l’attachée de presse… Quelle party ! Dommage que tu ne sois pas venu. Avec tes sacs de déguisements. »
Les « sacs de déguisements » sont ceux que j’ai oubliés chez Hélèna ce matin et que m’avait préparés hier soir Marlène Saldana avec les « déguisements » qui restaient de sa performance à Bétonsalon (28 septembre) pour me les remettre avant son départ pour Lyon (et sa première, le 5 novembre, de la pièce de Sophie Perrez et Xavier Boussiron) et que j’avais donc avec moi quand j’ai rejoint Hélèna après la danse, à 21 heures, chez elle, pour une soupe avec Rémy et Audrey. (Cours de danse avec Wayne Byars au Studio Harmonic à La Bastille.)
Plus tard, après avoir déjeuner comme à mon habitude au Café Divan, rue de la Roquette, je suis passé à la Ménagerie de Verre où Yves Godin prépare une installation scénographique dans laquelle il voudrait que j’intervienne. Marie-Thérèse Allier était toute contente que j’admire ses travaux du mois d’août. Elle m’a par ailleurs avoué qu’elle adorait le tarama (j’avais fait des courses), m’en a demandé la marque, a fait semblant de lire l’étiquette, mais semblait surtout toute heureuse d’une diversion trouvée à quelque difficulté de vivre…
Mercredi 29 octobre 2008.
Aujourd'hui, Hélèna s’est levée tôt dans son petit appartement du fond du XVIIIème arrondissement de Paris, a déjeuné et a passé beaucoup, beaucoup de temps à choisir – avec beaucoup de concentration – et je ne devais pas la distraire – et je ne pouvais que donner mon avis d’expert (d’artiste) – la tenue qu’elle allait porter pour – elle a choisi finalement une robe en lamé rose un peu osée pour l’heure matinale – mais je l’ai bien sûr encouragée – pour – pour – pour donc aller interviewer à l’hôtel Fouquet’s – pour « Elle » – je vous le donne en mille : Roger Moore ! (Amicalement Vôtre.)
Vers midi, voici ce que je lui envoyai : « Alors, il t’a emmenée dans sa chambre, le James Bond ? » Et elle me répondit : « Oui, avec sa femme, son agent, son assistant, l’éditeur et l’attachée de presse… Quelle party ! Dommage que tu ne sois pas venu. Avec tes sacs de déguisements. »
Les « sacs de déguisements » sont ceux que j’ai oubliés chez Hélèna ce matin et que m’avait préparés hier soir Marlène Saldana avec les « déguisements » qui restaient de sa performance à Bétonsalon (28 septembre) pour me les remettre avant son départ pour Lyon (et sa première, le 5 novembre, de la pièce de Sophie Perrez et Xavier Boussiron) et que j’avais donc avec moi quand j’ai rejoint Hélèna après la danse, à 21 heures, chez elle, pour une soupe avec Rémy et Audrey. (Cours de danse avec Wayne Byars au Studio Harmonic à La Bastille.)
Plus tard, après avoir déjeuner comme à mon habitude au Café Divan, rue de la Roquette, je suis passé à la Ménagerie de Verre où Yves Godin prépare une installation scénographique dans laquelle il voudrait que j’intervienne. Marie-Thérèse Allier était toute contente que j’admire ses travaux du mois d’août. Elle m’a par ailleurs avoué qu’elle adorait le tarama (j’avais fait des courses), m’en a demandé la marque, a fait semblant de lire l’étiquette, mais semblait surtout toute heureuse d’une diversion trouvée à quelque difficulté de vivre…
Mercredi 29 octobre 2008.
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