L’honnêteté exige
Femmes, hommes, posés sur la terre.
La pluie de la lumière – qui se transforme en eau dans les bassins.
Présente au studio, une chanteuse corse. Une robe avecque des fleurs, comme ça. Oh, l’amour, oh, la musique ! Nous sommes en 2009 ! Un homme, on peut le mettre dans un film et le filmer. Ils sont c’qu’ils sont. Il est possible que paraître soit être. Repéré par la télévision. Au temps où l’on fumait. On filmait en muet. Le continuum, c’était de ne pas sortir. Les dents très blanches. Les belles années soixante avec les platanes. Acheter une voiture à quatre. À quatre devant. On est passé. C’est donc à cet endroit qu’il faut repasser. À l’endroit où on est passé.
Jusqu’à la pluie du Nord, la calme campagne.
C’est une autre génération. L’huile liquide. Vous n’avez pas froid, vous êtes un esquimau, vous êtes habitué.
Le cadre du lit en rotin. L’ordinateur est un outil des années soixante et le fast train aussi et il y a un chien dans le train.
Des travaux pour rien. Une angoisse souvent. L’explosion du passé.
29 déc. 08.
La pluie de la lumière – qui se transforme en eau dans les bassins.
Présente au studio, une chanteuse corse. Une robe avecque des fleurs, comme ça. Oh, l’amour, oh, la musique ! Nous sommes en 2009 ! Un homme, on peut le mettre dans un film et le filmer. Ils sont c’qu’ils sont. Il est possible que paraître soit être. Repéré par la télévision. Au temps où l’on fumait. On filmait en muet. Le continuum, c’était de ne pas sortir. Les dents très blanches. Les belles années soixante avec les platanes. Acheter une voiture à quatre. À quatre devant. On est passé. C’est donc à cet endroit qu’il faut repasser. À l’endroit où on est passé.
Jusqu’à la pluie du Nord, la calme campagne.
C’est une autre génération. L’huile liquide. Vous n’avez pas froid, vous êtes un esquimau, vous êtes habitué.
Le cadre du lit en rotin. L’ordinateur est un outil des années soixante et le fast train aussi et il y a un chien dans le train.
Des travaux pour rien. Une angoisse souvent. L’explosion du passé.
29 déc. 08.
Labels: poésie yves-noël dispariteur
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