Bivouaquent des champs-fourmis
(En lisant un poème.)
Pareille à une lampe
dont l'auréole de
clarté serait de
parfum...
Le dos tourné au
soleil couchant
Toi, la poésie, la
sœur, ma sœur,
la morte, l'époque,
la vie des autres
Toi
le dos tourné à l'océan
Saint-Nazaire, Paris,
l'Asie...
Je suis place Stalingrad
un Italien me sert un
bœuf-carottes au curcuma
J'ai pris ce plat
parce que j'ai lu
dans "Le Point" que
le curcuma guérissait
du cancer et de la vieillesse
A flancs de coteau du village
distingue sur les lèvres
la chimère de l'humidité de
la Nuit
Pareille à une lampe
dont l'auréole de
clarté serait de
parfum...
Le dos tourné au
soleil couchant
Toi, la poésie, la
sœur, ma sœur,
la morte, l'époque,
la vie des autres
Toi
le dos tourné à l'océan
Saint-Nazaire, Paris,
l'Asie...
Je suis place Stalingrad
un Italien me sert un
bœuf-carottes au curcuma
J'ai pris ce plat
parce que j'ai lu
dans "Le Point" que
le curcuma guérissait
du cancer et de la vieillesse
A flancs de coteau du village
distingue sur les lèvres
la chimère de l'humidité de
la Nuit
Labels: poésie
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