Deux poèmes pour Teschner
un mannequin professionnel affamé
de quoi parler dans un livre ouvert
imaginez un corps le mien
si fatigué fatigué comme
dans un conte
un filtre un maléfice un talisman
tout à la fois
mélangé le corps et sa fatigue
sa cage et sa liberté le corps
dans cette chambre d'hôtel
que je disais celle de Goldoni
ou de Kafka
et bientôt d'un hôtel quelconque du Caire
très bruyant
l'autre soir j'étais dans une boîte
pas une chambre
pas une tache
pas une armoire
une boîte un club
réservé aux jeunes aristos de vingt ans
pas plus de vingt-deux ans en tout cas
il y a beaucoup de de me dit le dj
que je connaissais
si ce n'est pas la particule des fils de
ce qui revient au même
tous à boire des cocktails merveilleux
comme
les caprices d'Emilie
c'est le nom d'un cocktail
ou le
son nom m'échappe
petit bureau grande fenêtre avec un arbre dépouillé devant
Frédéric m'accueille dans son livre
comme dans des chambres d'hôtel
différentes toujours la même
c'est comme cela que je vois les choses
c'est si facile d'écrire dans un livre
c'est une matière glissante
c'est ce que j'ai fait de plus facile
je crois
comme aussi de jouer un grand rôle
au théâtre dans une pièce classique
ça m'est arrivé une fois ça aussi
c'était ce qu'il y avait de plus facile
finalement ce que fait Nicolas Sarkozy c'est pas si dur
de quoi parler dans un livre ouvert
imaginez un corps le mien
si fatigué fatigué comme
dans un conte
un filtre un maléfice un talisman
tout à la fois
mélangé le corps et sa fatigue
sa cage et sa liberté le corps
dans cette chambre d'hôtel
que je disais celle de Goldoni
ou de Kafka
et bientôt d'un hôtel quelconque du Caire
très bruyant
l'autre soir j'étais dans une boîte
pas une chambre
pas une tache
pas une armoire
une boîte un club
réservé aux jeunes aristos de vingt ans
pas plus de vingt-deux ans en tout cas
il y a beaucoup de de me dit le dj
que je connaissais
si ce n'est pas la particule des fils de
ce qui revient au même
tous à boire des cocktails merveilleux
comme
les caprices d'Emilie
c'est le nom d'un cocktail
ou le
son nom m'échappe
petit bureau grande fenêtre avec un arbre dépouillé devant
Frédéric m'accueille dans son livre
comme dans des chambres d'hôtel
différentes toujours la même
c'est comme cela que je vois les choses
c'est si facile d'écrire dans un livre
c'est une matière glissante
c'est ce que j'ai fait de plus facile
je crois
comme aussi de jouer un grand rôle
au théâtre dans une pièce classique
ça m'est arrivé une fois ça aussi
c'était ce qu'il y avait de plus facile
finalement ce que fait Nicolas Sarkozy c'est pas si dur
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