D'après un texte de Gérard Vidal, assistant sur le stage de Bourg-en-Bresse
Rêver les mondes pluriels
Tu dis : "Travailler avec qui est là."
Hollywood et ses étoiles. On veut le ciel étoilé. Le Paradis, "l'amour qui meut le soleil et les autres étoiles", comme dit Dante. Puis les explications et les doutes, "les causes de l'inégalité des âmes". Les sphères, Christ, Vierge, rire de Béatrice.
Et tous ces textes auquel je ne pense jamais, moi. Les sketches, les farces, etc.
Et ceux auquel je pense : "Our mortal life... a dream... rounded with a sleep...", La tempête, avec Prospero qui fait son show. Caliban, homme-poisson. Vardaman, le simple d'esprit dans Tandis que j'agonise, de Faulkner : "My Mother's a fish." L'illusion comique : "Mon fils !" Le Songe, évidemment (les artisans). Shakespeare et ses niveaux de réalité entremêlés... Mais, là encore, ne pas rajouter de plis au tissu déjà froissé de la toile peinte de la réalité, un regard qui déplie si possible, un regard qui se déplie, qui accepte d'être déplié par l'être...
Grands thèmes et anecdotes
“Elisabethan prose, for all its beauty and bounty, was a very imperfect medium. It was almost incapable of fulfilling one of the offices of prose which is to make people talk, simply and naturally about ordinary things...could speak magnificently, of course, about the great themes – how life is short, and death certain ; how spring is lovely, and winter horrid - perhaps indeed, the lavish and towering periods that it raises above these simple platitudes are due to the fact that it has not cheapened itself on trifles.” Virginia Woolf. The Strange Elisabethans.
Dans le rêve, vision d’un lever ou coucher de soleil, encadrée par une belle architecture moderne.
Présomption d'innocence de la personne handicapée.
Ton travail : une rêverie "littérale" avec ce qui est là. Tout en travaillant vite, comme à Hollywood.
Tu dis : "Travailler avec qui est là."
Hollywood et ses étoiles. On veut le ciel étoilé. Le Paradis, "l'amour qui meut le soleil et les autres étoiles", comme dit Dante. Puis les explications et les doutes, "les causes de l'inégalité des âmes". Les sphères, Christ, Vierge, rire de Béatrice.
Et tous ces textes auquel je ne pense jamais, moi. Les sketches, les farces, etc.
Et ceux auquel je pense : "Our mortal life... a dream... rounded with a sleep...", La tempête, avec Prospero qui fait son show. Caliban, homme-poisson. Vardaman, le simple d'esprit dans Tandis que j'agonise, de Faulkner : "My Mother's a fish." L'illusion comique : "Mon fils !" Le Songe, évidemment (les artisans). Shakespeare et ses niveaux de réalité entremêlés... Mais, là encore, ne pas rajouter de plis au tissu déjà froissé de la toile peinte de la réalité, un regard qui déplie si possible, un regard qui se déplie, qui accepte d'être déplié par l'être...
Grands thèmes et anecdotes
“Elisabethan prose, for all its beauty and bounty, was a very imperfect medium. It was almost incapable of fulfilling one of the offices of prose which is to make people talk, simply and naturally about ordinary things...could speak magnificently, of course, about the great themes – how life is short, and death certain ; how spring is lovely, and winter horrid - perhaps indeed, the lavish and towering periods that it raises above these simple platitudes are due to the fact that it has not cheapened itself on trifles.” Virginia Woolf. The Strange Elisabethans.
Dans le rêve, vision d’un lever ou coucher de soleil, encadrée par une belle architecture moderne.
Présomption d'innocence de la personne handicapée.
Ton travail : une rêverie "littérale" avec ce qui est là. Tout en travaillant vite, comme à Hollywood.
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