Saturday, April 17, 2010

J'ai ri deux fois

, en trouvant (en ligne) la critique d'Armelle Héliot sur L'Eveil du printemps (elle a détesté et ne coupe pas les cheveux en quatre) et, en lisant les commentaires en dessous, d'y trouver celui d'Arnaud Bourgoin (mon assistant) qui lui dit : "Que tout cela vous rend vilaine." Elle a le droit de détester, Arnaud, à ce point, c'est drôle ! Ça s'appelle "une descente en flamme", un "éreintement". C'est toujours étonnant, comme d'un spectateur à l'autre... J'adore ce genre. Dire d'une chose que c'est surnaturellement nul me donne tout de suite envie de m'y rendre. Là, pourtant, ce qui m'a attiré, c'est qu'un autre critique, Brigitte Salino, était parti à l'entracte en ayant adoré le spectacle sans s'être apercu qu'il y avait une deuxième partie et ayant trouvé cohérent (l'écrivant) que les acteurs ne viennent pas saluer et que les spectateurs (après un tel choc) mettent du temps à quitter la salle ! Elle s'en est excusée ensuite, dans un autre article, mais, en fait, c'est adorable, non ? Ce qui me réjouis aussi, c'est que, dans les deux quotidiens les plus important de France ("Le Figaro" et "Le Monde"), la critique soit si naïve... C'est si joli... A propos, Arnaud, p'tit pédé ! quand est-ce qu'on bosse sur le stage, nom de Dieu ? (Voilà comme je leur parle, moi, aux assistants...)

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