Monday, October 25, 2010

Toute écriture est transparente si elle rencontre son lecteur.

La masse d’amour qu’il y a à aimer, comme inutilisable, en friche. La masse de santé amoureuse qui est malade, en friche, amoureuse. La masse de la population, c’est trop. Six milliards, ça veut rien dire.

« …ce monde entaché de tant d’imperfection, de tant d’horreur, de tant de péchés, de tant de douleur physique, de tant de sentiments de culpabilité, de tant de crimes… »

« …ce monde où nous vivons, si faillibles, si vulnérables, si fugacement heureux… »

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