Bonne nuit Epicétou
Je suis dans l’Allemagne nazie, je visite ces lacs effrayants. J’ai une voiture. La Suisse, l’Autriche. Parfois je vais à vélo et souvent à pied. Je descends vers le lac. Je me baigne. L’eau légère. La force de mon corps. Mes muscles. Mes définitions. Pieds, jambes, membres. Et la tête portée comme une émergence mathématique. Je suis avec des amis, un ami. Variable. L’homosexualité (qui ne se voit pas).
Labels: poésie
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