Sunday, May 29, 2011

« Ma parole, j’y crois. »

Pourtant je suis tellement heureux. Maintenant que j’ai vidé le théâtre, le théâtre s’ouvre vivant et frais, neuf.

Pascal Rambert et Laurent Goumarre, toujours à la fois (et cela dure) très sincères et très mondains… C’est très curieux (et agréable), cette sensation d’un soutien à la fois réel et absent, réel et relatif. Ce qui me fait souvent dire (surtout dans le cas de Pascal), qu’il me flatte – mais j’ajoute toujours aussitôt : « J’aime la flatterie. » Et j’en demande encore. Et… ? Meilleur artiste et… ? Et alors… ? C’est tout ? Bon.
Rémy Héritier, mon frère, mon idole, part à Berlin au moment où j’en reviens et, en plus, pour travailler avec Laurent Chétouane, le génie du siècle (encore jeune, le siècle...) Le seul, en tout cas, à qui j’ai proposé une fois d’être son assistant. (Puisque je ne suis pas danseur et que, comme acteur, je ne parle parle pas allemand – ni norvégien ni grec…) Laurent Chétouane m’écrit :

Cher Yves-Noël,

J'ai pensé à vous hier soir. Comment cela s'est-il passé ?

Connais-tu des lieux où nous pourrions montrer
Horizon(s) en France ? Des personnes à qui je pourrais envoyer un dvd du spectacle, susceptibles d'être intéressées par ce genre de travail ?

Merci pour ton soutien.

A bientôt,

Je t'embrasse,

Laurent

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