Prière aux grilles du Templo Mayor
Même moi qui suis souffrant, qui suis fautif, qui suis assassin, le monde me loge et me console
L’amour, comme une pierre, a été enlevé du monde
(d’un souffle cosmique)
Mais le monde, fragmenté par la lumière, nous repose, moi et l’amour ou son absence comme, dans une forêt vierge, le vide
Le vide de pierre, insuffisant. Lente désagrégation
Il y a, juste l’instant, le sourire, le soupir qui ne se remarquent pas
Chacun des cierges envenimé
Mais la rue en pente ne l’est pas au cœur
« Rapido », au cœur, ne veut rien dire
Point central
Même moi qui suis souffrant, qui suis fautif, qui suis assassin, le monde me loge et me console
L’amour, comme une pierre, a été enlevé du monde
(d’un souffle cosmique)
Mais le monde, fragmenté par la lumière, nous repose, moi et l’amour ou son absence comme, dans une forêt vierge, le vide
Le vide de pierre, insuffisant. Lente désagrégation
Il y a, juste l’instant, le sourire, le soupir qui ne se remarquent pas
Chacun des cierges envenimé
Mais la rue en pente ne l’est pas au cœur
« Rapido », au cœur, ne veut rien dire
Point central
Labels: poésie
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