Principe de mobilité
« Il faut un principe de mobilité incroyable pour jouer Tchekhov, il faut pouvoir être sans arrêt au bord du rire et au bord des larmes. »
Je suis fatigué. Je suis fan de nouveau. Je sens l’amour. J’écoute Christophe, Les Paradis perdus, Petite fille du soleil, L’Italie, Les Mots bleus et je ne trouve rien de plus beau de ma vie. J’écoute en boucle Les Paradis perdus que Marc m’a envoyé (c’est drôle, je pensais qu’il n’aimait pas Christophe – ou alors je me trompe). Je sens l’amour de partout. Je suis dans mon lit, je vais ressortir. Il y a l’anniversaire de Virginie – avec tout le monde, Kader, Florent, François, Romain bien sûr. Je passe du temps avec Romain, en ce moment. Qu’il est généreux, ce type, de m’offrir comme ça son temps. Les autres aussi, Sophie, Charles, Valérie, Jeanne, Dominique, Marlène, Wagner, Lucien. Je les compte au moment des notes pour savoir si j’ai le compte. Quel miracle, cette histoire.
Les mots qui rendent les gens heureux, petite fille du soleil…
Arnaud Guy
Chic By Accident, de Yves-Noël Genod. Vu cet après-midi à la Ménagerie de verre. Féerie de chérubins mais aussi d'êtres vivants, fragiles mais si forts dans leur volupté. Encore demain et lundi à 20h30 (entrée libre !) puis 14, 15, 16 et 17 Mars dans le cadre du festival Étrange Cargo. Sublime odyssée...
J’ouvrirai la salle à 17h30 et on se retrouve à 19h pour ce raccord dernière scène.
Je dors un peu puis je me réveille. Dans le miroir, je vois que je me suis dessiné la moustache non pas d’Astérix, comme dit Jean Biche, mais de Christophe.
Labels: ménagerie
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