Anniversaire de la pièce 1er avril
Il a fallu que, du pied, je pousse le matelas hors du mur, hors du soleil qui m’éblouissait, pour que ma vie m’apparut encore miraculeuse : je voyais le ciel bleu, le seul ciel était celui que je voyais, ma tête était à l’ombre (mon corps au soleil), je pouvais continuer ma lecture.
Labels: poésie
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