Thursday, August 23, 2012


« J’écris pour, surtout, ne pas ne pas écrire. »

J’ai rien envie de faire. Heureusement, les choses se font avec rien. Donc l’envie demeure – de la journée au bord de la mer…
Je voudrais lire tous les livres à la fois.
C’est un peu ce que je fais. J’en finis rarement. Un sujet m’intéresse. Un sujet m’accapare. Un sujet me délaisse. Que peut-on faire avec son cerveau ? (Un ouvrage de vulgarisation.)
Plusieurs parcs et jardins s’offrent à moi. Quelle est la meilleure stratégie ? Où me poster ?
Le problème avec les romans, c’est qu’il faut les lire jusqu’au bout. Car c’est la fin qui est intéressante. Normalement. Comment le romancier finit le livre… Mais je lis très peu de romans. Je lis des biographies. Je lis des essais. Je lis de la poésie. (La fin ne compte pas.) Ou alors je ne lis que la fin. Une astuce aussi…

En ville, on peut se montrer ou se cacher, l’intérêt de la ville… (Mais, dans la nature, Dieu vous voit.)

C’était facile d’écrire des romans lorsque nous en écrivions, c’était aisé… Il y avait ces femmes, il suffisait de les décrire et de les faire bouger – elles bougeaient déjà…
Le monde n’était alors qu’un documentaire, un documentaire qui s’écrivait… comme un roman !
La vie et son envahissement
Grande capitale
Bruyante
D’été

« diluant sous l’angoisse son eau claire d’une piscine »

4 heures bientôt, je descends vers la mer…

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