Je me levais dans le château
Je me levais, j’avais un
roman. C’était simple, c’était facile. C’était se lever. Bien sûr, il m’était
venu des phrases en rêve, mais que je n’avais pas pris la peine de noter. Ça
parlait de joie, de temps, de l’imagination de la joie.
Je me levais dans le
château. A singular happiness.
Tout ce que nous appelions « notre absence d’imagination », les
nuages qui étaient flous… était moi. Il y avait, dans la lumière, tout ce qui
était bien. Il n’y avait rien à voir, comme toujours, et notre émotion intacte.
...
...
0 Comments:
Post a Comment
<< Home