J’aimais tant les contes
C’est étouffant. C’est très
délicat. Je veux bien en parler, mais…
C’est-à-dire si je vais
vraiment là où je lis, il s’agit d’un terrain spongieux où je m’enfonce,
marécageux, sables mouvants, des miasmes, et voulez-vous vraiment que je me perde ?
Allons. J’appelle. Quelqu’un. Sauvez-moi !
Qu’est-ce que vous faites
demain soir (lundi) ? Je vais voir Bébé et on se proposait un cinéma, ça
vous dirait de vous joindre à nous ? (Que je vous présente Bébé.) Je
reviens dans un état assez épouvantable du château sur le Tarn, comme une
intoxication sans que je comprenne si elle vient du lieu, de l’eau, des
lectures que j’y ai faites, ou des essais d’écriture, que des choses si
tristes, malheureusement, mais vraies,
c’est-à-dire pouvant appeler le mal (peut-être). Il ne semble pas que je prenne là le chemin de la publication (ça me dégoûterait !) Rimbaud dit :
« Ne pas porter au monde mes dégoûts et mes trahisons. » Mais je re-ris en lisant l’histoire de Monsieur Dupont (« paumé un sac », ça me fait rire…)
Ce qui me donne la force de
vous faire cette proposition pour demain…
Yvno
« Garde sans cesse à
l’esprit cette maxime: « Qui atteint le but manque tout le
reste ». »
Dans ce château, ce qu’il
s’est passé, c’est que j’ai senti la mort…
Labels: château
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