Monday, November 19, 2012

Luxe nocturne



(L’unique roman.)
La jeunesse insignifiante, éternelle.
Le monde imaginaire réel.
Dans la maison-château du grand Meaulnes.
T’as d’l’argent – tu en manques. C’est beau, la vie, c’est souple. Au loin la fumée, bleue, turquoise, outremer…
La disponibilité, tous ces gens – et, parmi tous ces gens, un peintre, Caravage – mais tous font le même métier. Un peintre, Caravage, mais tous font le même métier.






Une pièce qui s’appellerait Sleep. Et où, sur un canapé (large et profond), les acteurs dormiraient (comme au Berghain). Et donc avec musique.

La nostalgie est ma drogue, ma transe, mon sexe.

Le Berghain, c’est la ville idéale.






Au milieu de Werther, Julie Menut en frite pour un play-back.






« Well it may not be all great and good but it ain't that bad, so cheer up world it may never bloody happen ! »

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