Sunday, March 24, 2013

aimer aimer


                       avant de me coucher, je voulais encore parler de rien, alors j’ai fait la vaisselle, j’écoutais la chanson de Woodkid I love you, en boucle, comme il se doit. oui, doigt. Oh boy your eyes betray what burns inside you, encore un monde imaginaire. je pensais à ça et à ça et à ça. je pensais qu’il y avait des choses que je ne pouvais pas mettre sur mon blog (j’avais promis) et j’étais heureux d’avoir des choses que je ne pouvais pas mettre sur mon blog et tous ces gens, tous ces gens qui vivaient avec moi, et moi. oh, comme c’était facile, la vie ! qu’est-ce que j’inventais, après tout ? « tu es prise à ton propre piège, poupée », moi aussi, je voulais dire ça, moi aussi, je voulais commencer une nouvelle vie et ne pas travailler, juste aimer aimer à n’en plus finir comme j’avais toujours rêver de faire. toujours rêver de faire. I love youmes cheveux sont comme une ville détachée. j’ai rencontré machin et machin. et j’ai vu la beauté. c’est une femme, c’est un sourire. c’est un sourire de satin et de femme aimer comme une ville étrangère fait aimer, le monde est rond, petite fille, c’est une. c’est une femme comme une bille qui est ronde, comme une bille

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