To talk about Satan
Moi avec ma lenteur,
Moi avec ma lourdeur,
Moi, le temps que ça
m’aime (que ça
m’imprègne), je
respire.
respire.
Je ne suis pas
Vraiment là, je suis
Devant le cinéma,
Je respire.
Toute cette place
Inside que je suis :
Un pays étrange
Que l’on explore pour
Moi.
Je respire
Les poèmes
De plus en
Plus pauvres
De l’humanité
Déchirante.
(Et peut-être que
Ça a toujours été.)
Les belles dents.
Quelles sont les
Nouvelles du
Jour ?
— Du jour — ?
Que nous veut
L’Amérique ?
Leurs poèmes anciens...
Ils ne sont plus
Les maîtres du monde
— Presque plus —, le
Monde.
Monde.
Je ne suis pas calmé.
Je ne me cabre pas.
Toute cette respiration !
Heart breakers.
Je dors chez moi,
A l’intérieur
De moi,
Avec tout
Mes souvenirs
Et mon écart.
Et mon cerveau-
Poumon
Vide et plein,
Vide et plein
Pendant que le film
Se déroule.
La peur te fait fermer
Les yeux et les
Narines.
13 mars 2013.
13 mars 2013.
Labels: poésie
1 Comments:
OOOohr oui encore
j'en veux plus,
avant, avant
de me réveiller
dans le cul
Ils ne sont même plus là
Ils sont loin, ceux
imaginé, oOOohr
oui encore
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