Ti asmo
Toutes les nuits, maintenant, il y a des scènes incroyables dans ma rue, des opéras… A une époque, ça pouvait m’inquiéter, me terrifier, maintenant ça me fait rire. J’aime tellement la fenêtre ouverte ! On respire mieux. La vie. Le dehors. Et puis tout le monde s’en mêle. Des femmes surtout gueulent aux fenêtres. On a la vie de tout le monde. J’adore. Sud. Méditerranée. Il ne manque que la mer… Des choses incroyables. Les plaintes, les hurlements des animaux humains…
« — Ti amo — Come sai
che è amore ? — Perchè quando penso a te mi manca il respiro. — Quello è
asma. — Allora ti asmo. »
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