Friday, September 13, 2013

L a Nuit à Marseille


Jean-Christophe Cavallin
Merci pour cette gymnopédie, ce tour de piste. C'est très beau, cette voix captive, satellite d'un corps nu qui fait le tour de sa nudité...



:-) Merci pour ta beauté, ta fidélité, ta sensibilité... Ce soir, je vais m'endormir avec toi à Marseille car je n'ai personne d'autre à qui penser... (mais comme je dis : toi, c'est bien !)







« Peu d'auditeurs des Gymnopédies (1888) d'Erik Satie connaissent l'origine de ce mot grec. À Sparte, lors du passage de l'enfance à l'adolescence, les rites d'initiation du futur citoyen se terminaient par les gymnopédies. Les garçons subissaient une longue station debout, exposés nus en plein soleil, parmi les chœurs de danse. Ces fêtes célébrées en l'honneur d'Apollon auraient été organisées pour la première fois par Thalétas de Crète (- VIIe s.). Les athlètes des jeux (lancement du javelot, du disque, etc.) rythmaient leurs évolutions au son de la flûte ; des scènes de chasse et autres sports étaient mimées par de jeunes Lacédémoniennes nues, dont les Athéniens se moquèrent en les traitant de phénomérides (« montreuses de cuisses »). »

Labels:

0 Comments:

Post a Comment

<< Home