N ous avons les machines
Y aurait beaucoup à dire
sur àmylènefarmer, et j'adorerais ! mais j'aurai pas le temps. Pour faire au
plus court, y a 2 choses top, àmylènefarmer, des vidéos extraordinaires de Eve
Ramboz, que je connais, et c'est comme ça que j'étais là et des robots qui
dansent sur les chorés de amylènefarmer (avec elle au milieu). Manque de bol
hier (pour la première fois), les robots étaient en panne,
j'ai pas vu cet effet. « Les robots sont pas là », a dit amylène et,
comme, en ce moment, on me demande un titre sorti du chapeau, j'ai bien envie
de donner celui-là ! « Les robots sont pas là, mais je suis sûr qu'on va
passer une soirée merveilleuse quand même », a-t-elle ajouté... en
essuyant une larme (elle pleure comme Th. L. bande). « Pleure-pas-Mylène
! » était d'ailleurs le mot du soir, l'éternel mot du soir du fan de la
fosse (moi, j'étais sur le rang VIP à côté de Christophe Dechavanne qui est
devenu un sacré alcoolo vu l'état de son pif, de son visage et de son corps...
mais je m'étale, je m'étale et j'ai pas le temps, pas le temps, pas le temps...
Ça m'a fait couché tard, en plus, ce truc...)
Labels: paris
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